Ce qui est propre, on aime ça non ? Et on ne s’embarrasse pas de s’en approcher. C’est le cas de celui dont il s’agit aujourd’hui : Guy Destin Tshienda que j’ai connu dans le sillage de Jacques Ilunga au bureau de Général des services peu avant l’événement de Werrason au Palais du peuple en 1998. Et ensuite durant l’organisation l’année suivante de Miss-Kinshasa. Ce que j’aime en lui – beaucoup d’ailleurs comme moi – c’est son élégance, l’harmonie dans sa mise vestimentaire (excellent dans le réglage, comme on dit chez nous). C’est à croire qu’il est né dans une machine à laver pour soigner proprement son look ou ne se sépare de ses habits qu’avant de se coucher. C’est du moins l’impression qui s’en dégage ! Ceci n’est nullement la moindre de ses qualités. Autre chose à présent : comme si le bottin avait menti, Guy Destin (c’est peut-être aussi un signe du destin), c’est aussi un réseau relationnel très puissant.
Vous voulez nouer un contact ? Il est également du genre « monsieur tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Gentil, il l’est vraiment. Franchement. Avec un port de tête sympathique. Je le dis en connaissance de cause ! J’avoue que je le connais un peu bien. Comme certains qui sont arrivés hier là pensent que lui aussi est devenu leur ami. Il rétorque que c’est « faux ». D’où sa récente sortie sur les réseaux sociaux pour couper court à tout ça ! « Je ne suis pas des leurs… », tranche-t-il. Avant de renchérir : »ces arrivistes vont s’effacer d’eux-mêmes, ils n’ont pas leur place ici dans notre Kin… » Lui veut défendre bec et ongles « son Kin » qu’il pense que les prédateurs veulent accaparer.
Guy Destin peut dormir sur ses deux oreilles, notre ville ne va pas nous échapper, nous sommes tous de ce combat…