En parcourant Facebook, j’ai pu avoir une image de mon ami Henri Tuluka sur son terrain de prédilection s’adonnant à son activité favorite. Le nom qu’il porte est en lien étroit avec Chez Yaya : une grande entreprise créée par Papa Tuluka (grand commerçant devant l’Éternel) dont il s’occupait de la branche boucherie et charcuterie, connue dans la grande distribution exploitant notamment les vivres frais qui a pignon sur rue à Kinshasa. Il fait partie d’une grande famille qui autrefois résidait à Binza. Et tout naturellement, Henri Tuluka est dans le groupe des jeunes gens de cette époque soutenant particulièrement l’orchestre Yoka Lokole. Parce qu’un des leurs, Mbuta Mashakado, y évoluait aux côtés de Siméon Mavuela Somo, comme tête d’affiche.
Il prend toujours un infini plaisir à échanger avec moi ou à laisser un commentaire sur un ton amical après mes divers posts sur la toile. Il se sent très proche des mongo (dont Popaul Lianza) par le fait du mariage (avec comme compagne Irène Efomi, juriste, conseillère juridique à BCDC) et naturellement il me considère comme son beau-frère.
Il est le cinquième enfant de papa Désiré et maman Marie après mon ami, maître Victor, son défunt grand frère Robert que nous appelions affectueusement Bob, madame Suzy Mukubu (génitrice de miss Kinshasa, Malika) et Malou. Lui, c’est est bien le grand-frère de Annie Samuna. Après ses études, tout au début des années 80, il a choisi de s’installer à Kitomesa où il y avait une grande ferme familiale et devenu consultant de la ferme Cafrigel près de Lubumbashi. Nous avons en commun la passion de l’écriture et l’usage de la langue de Voltaire. Pour s’en convaincre il n’y a qu’à se référer à ses différentes réactions sur les réseaux sociaux. Excellente fin de week-end beau-frère !
