Dans un arrêt rendu le 10 juin 2020, le juge de référé estime que « dès lors que la décision de l’Assemblée nationale (destituant Jean-Marc Kabund) fait objet d’un recours en inconstitutionnalité pour violation des droits et liberté fondamentaux, la présidente de l’Assemblée nationale ne pouvait pas se permettre de programmer l’élection du nouveau premier vice-président de l’Assemblée nationale tant que les différends sont encore en instance à la Cour constitutionnelle ».