Il est avec moi membre des Amis de Mweka très chaud. Mais bien plus, il a en commun avec moi quelque chose, mieux, un peu de Papa Wemba dans son ADN. Il lui a transmis l’amour de la personne et surtout de sa musique. Il dort et se réveille en écoutant du Papa Wemba, naturellement du Viva la Musica dont il connaît tout le répertoire. Artiste lui-même, enseignant à l’Académie des beaux-arts, il passe son temps dans l’atelier à créer des œuvres et s’occuper de ses étudiants dont la plupart sont devenus des amis.
Artiste, il est bassiste et a presté dans quelques groupes dont Baninga de Madiata.
En dehors de Papa Wemba, il est fan et ami de Jean Goubald Kalala pour la qualité de sa bonne musique.
Artiste et professeur de son état, il est ami de ses amis artistes et enseignants comme lui dont il ne se passe pas de partager un verre au sortir de l’Académie des beaux-arts.
Maître Cams kadima est un frère jumeau de l’autre artiste qui est son complice, Jean-Pierre Nduwa pour ne pas le citer. Si tu vois ce dernier quelque part ce que maître Cams est dans les environs. Quel que soit le jour en semaine ou les jours fériés, il est omniprésent en sa qualité de gardien du temple à la terrasse Mweka très chaud, muni de sa boîte à musique.
Svelte, taille mannequin, il fait très attention à l’habillement, l’une des bonnes choses qu’il a héritées de Papa Wemba : Bien s’habiller. Côté gastronomie, il est dans le bio avec son complice Nduwa, qu’il appelle affectueusement Océan et pour le menu européen, il rivalise avec Popaul Lianza.
Artiste avec A majuscule, il a des amis et vend ses œuvres jusqu’au sommet de l’État.
Marié, il vit le grand amour à distance avec son épouse et lui s’occupe merveilleusement bien de la famille et de son boulot.
Que dire d’autres encore ? Sinon, tout ça c’est lui.
Pour le connaître davantage, je vous laisse le découvrir également par un dépliant de présentation ci-dessous.
Artiste né, artiste devenu, artiste proche de son art, artiste incarné, Me Cams Kadima est sans doute un héritage pas de moindre pour la RD Congo dans le domaine qui est le sien : l’art, le bel’art. Et la preuve n’est plus à chercher loin !
Jean-Pierre Eale Ikabe