Que ceci donne lieu à réhabiliter dans la conscience sociale, la fonction éthique et technique, plutôt que de s’engouffrer, dans une mentalité, politique de maintien dans l’orbite d’un sous-développement autodestructeur.
Tout comme la mauvaise herbe qui pousse au galop, les enchanteurs politiques existent, (d’ailleurs grâce à nous) survivent et nous maintiennent en condition naturelle d’hypnose, s’appuyant sur notre rejet à la cohésion, à la cohérence, à la différence et finalement à notre manque criant de volonté.
Tant que ceci sera cela, nous serons voués à l’échec, à la déchéance, au chaos, au cercle vicieux d’une pauvreté intemporelle, commandée et contrôler, par la réalité du «bac à crabe» dont il nous est tous possible de sortir.
«Le droit est droit, il n’est pas à droite», me disait mon regretté père, inquiet alors, de l’avenir du pays gangrené depuis toujours par l’Injustice, l’imposture, l’inconscience et que sais-je encore.
L’intelligence ne suffit plus autant recourir immédiatement à la sagesse d’en-haut et se servir à bon escient d’une justice à plein régime au service de l’équité dont le pays a besoin pour son équilibre.
Ne sommes-nous pas en quête d’éthique dans cet environnement grandissant des «kulunas» en cravate ?
Dieu bénisse le Congo !
Yves Antoine Mbaki
Acteur communautaire