Les forces vives du territoire de Dimbelenge dans le Kasaï Central et les autorités traditionnelles de ce coin de la République parlent le même langage au sujet du projet de spoliation du célèbre et mythique Lac Munkamba par certains élus et les autorités de la province du Kasaï Oriental, acte qui ne bénéficie d’aucune forme de soutien de la part de ces dignes fils et filles de Dimbelenge encore conscients de la valeur historique de cette étendue de fierté pour les générations passées, présentes et futures.
A cet effet, un mémorandum a été adressé aux autorités de la république, aux niveaux tant national que local, afin de décourager sans attendre, cette idée jugée diabolique et honteuse initiée par quelques fils égarés du Kasaï Oriental qui, selon certaines analyses, souffriraient de la manie de gestion ambiguës des ambitions liées à leurs positionnements par rapports à la prestigieuse province du Kasaï Central et sur leurs semblables kasaïens.
Ce mémorandum porte ce qui suit :
MEMO-FV-DIMBELENGELe premier à saisir dans cette affaire a été le Vice premier ministre, ministre de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Me Jacquemin Shabani, à travers une lettre signée par le Rapporteur de Circonstance, Johnny Luboya, acteur politique, président et initiateur de parti politique ADPD et notable du Kasaï Central.
Dans cette lettre, il est signifié au patron de la territoriale congolais qu’une délégation en provenance de Mbuji mayi au Kasaï Oriental, a été porteuse d’un Ordre de Mission dont copie sous pli présenté, signé par le Directeur Roger KAMBA de la Présidence de la République en charge de la Couverture Maladie Universelle dont l’objet est l’étude du sol pour la construction du bloc Oncologie à proximité du Lac Munkamba, initiative non prise en charge par les notable de ce coin.
Lettre-transmission-memo-1-Forces-VivesPour Johnny Luboya, pour rien au monde les ressortissants et autorités traditionnelles de Dimbelenge ne lâcheront faire sur cette affaire de spoliation qui n’est qu’une provovation à éviter.
Benz Bwanakawa