Le parcours que nous avons emprunté en négociant prudemment les virages nous a permis de progresser vers le but que nous nous sommes fixé. Nous restons focus sur l’objectif que nous nous sommes assigné : celui d’aller au front pour rapporter les infos en prenant soin de les recouper avant parution. Exercice pas toujours aisé mais nécessaire, voire obligatoire, au nom de la crédibilité. Nous avons pris le pari d’être présent, envers et contre tout et tenir les délais de parution. Nous nous y accrochons. Mais, c’est que nous n’allons pas faire maintenant, c’est satisfaire une demande devenue pressante : celle de vous offrir E-Journal Kinshasa en version papier, donc une publication physique tout en gardant celle en ligne à laquelle beaucoup ont commencé à s’habituer.
A cause de quelques aléas inhérents à la confection de ce format, mais aussi parce que notre branche commerciale occupée à étudier à fond ce segment, exigence couplée aux observations de
notre partenaire sur l’espace Schengen car de ce côté-là, nous nous sommes également ouverts. Septembre, mois de la rentrée, nous paraît propice pour cela. D’autre part, la somme d’appréciations élogieuses qui nous parviennent sonnent en écho comme une force motrice qui nous pousse à aller de l’avant. Tous les avis et considérations autour de notre production encouragent les efforts que la petite équipe déploie, tant bien que mal, pour maintenir le cap. Tout cela, à l’évidence, met du vent dans nos voiles pour faire justement le contraire du bateau naviguant dans les eaux troubles. Dans notre progression, beaucoup trouvent merveilleux que nous ayons entrepris de regarder dans le rétroviseur pour exhumer quelquefois des fossiles enfouis dans les méandres de souvenirs. Parce que le passé, en quelque sorte, nous est resté présent. Pour le besoin de l’histoire bien évidemment ! Si déjà un bon nombre de notre lectorat trouve son compte. Donc… Et c’est tant mieux ! Il est permis, pour nous, de croire que nous ne filons nullement du mauvais côté et encore moins avions emprunté le moins bon chemin. Loin s’en faut ! Nous tendons constamment l’oreille pour faire notre devoir : vous satisfaire… Parce que, ceci est devenu comme un principe de vie, le tango, comme la rumba, se danse à deux : vous et nous ! Nous existons par vous interposé…
Bona MASANU